Dans le sud-ouest de la Jamaïque, Daneyel Bozra cultive de la marijuana sur deux acres, malgré une grave pénurie de marijuana.

Il vit dans le village historique d’Accompong, fondé par des Marrons, qui ont échappé à l’esclavage. Les mesures COVID-19 comprenaient également un couvre-feu à 18 heures, qui empêchait les agriculteurs de s’occuper de leurs champs la nuit. Kenrick Wallace, un autre agriculteur, cultive deux acres à Accompong avec l’aide de 20 autres personnes.

Il n’y a pas de route vers le champ, ce qui oblige les agriculteurs à parcourir de longues distances jusqu’aux sources d’eau et aux champs. De plus, de nombreux agriculteurs sont empêchés de travailler en raison des couvre-feux. Il a perdu plus de 18 000 $ ces derniers mois et son groupe est incapable de produire autant de marijuana qu’il graine autofloraison 30 jours le ferait autrement. Le manque de routes et les couvre-feux ont provoqué une grave pénurie de ganja, qui est une source de revenus vitale pour la population de la région. Ce manque d’accès a également eu un impact sur le tourisme, car les touristes ont posté sur les réseaux sociaux qu’il est difficile de trouver de la ganja en Jamaïque.

Alors que les producteurs de ganja jamaïcains s’efforcent d’augmenter leur production, la sécheresse continue rend impossible la culture de la marijuana. Les mesures Covid-19 du gouvernement ont également rendu difficile l’entretien des champs la nuit, un sérieux handicap pour de nombreux agriculteurs. En raison du couvre-feu, les agriculteurs sont obligés de marcher jusqu’à leurs champs pour aller chercher de l’eau. Et le manque de routes a entraîné une diminution de la main-d’œuvre, ce qui signifie qu’ils ne peuvent pas vendre la ganja aux touristes.

Le manque de routes a également rendu l’agriculture plus difficile. Les agriculteurs doivent parcourir des kilomètres pour atteindre leurs champs et doivent apporter de l’eau à leurs plantes. De plus, les couvre-feux ont empêché certains agriculteurs de travailler. M. Wallace a perdu plus de 18 000 $ au cours des six derniers mois seulement, et lui et son équipe produisent 700 à 800 livres de ganja chaque année. La pénurie a également affecté l’accès des touristes à la ganja, car il est devenu plus difficile de s’en procurer.

La pénurie de ganja est un grave problème dans le pays. De fortes pluies, suivies d’une sécheresse prolongée, ont anéanti toute la récolte, obligeant de nombreux agriculteurs à marcher des heures jusqu’à leurs champs pour aller chercher de l’eau. Du coup, il y a quelques mois, il n’y avait plus de ganja en Jamaïque. Le nombre de cultivateurs de ganja a diminué de moitié et le gouvernement ne réglemente pas l’industrie.

Le manque de ganja légale en Jamaïque a entraîné une pénurie de mauvaises herbes. Le célèbre marché de la marijuana de l’île souffre de la sécheresse et des fortes pluies. Malgré la pénurie de mauvaises herbes, il est toujours légal de cultiver jusqu’à cinq plantes. Et le manque de ganja légale contribue également à un prix plus élevé. Dans ce scénario, une personne qui possède une petite quantité de cannabis peut payer une petite amende et éviter la prison.

Le gouvernement a adopté des lois qui permettent aux individus de cultiver autant de plantes qu’ils le souhaitent, tout en leur permettant de cultiver jusqu’à cinq plantes. Malgré les restrictions, il existe toujours un marché souterrain pour la marijuana. Le gouvernement du pays s’efforce de s’assurer que la marijuana est légale pour un usage récréatif, mais le manque de ganja a affecté l’économie de la Jamaïque. En conséquence, le gouvernement a réprimé le marché.

L’île a une industrie réglementée de la marijuana médicale et de la marijuana décriminalisée, mais elle fait toujours face à une pénurie de marijuana, en raison d’une combinaison de facteurs, notamment une sécheresse prolongée, une demande locale accrue et le déclin des producteurs traditionnels de marijuana. La situation a incité le gouvernement à assouplir la loi afin d’alléger la pression sur l’économie locale. Actuellement, le pays a environ 420 millions de livres de ganja légale sur son marché, et cela vaut au moins 18 millions de dollars américains par an.

Le marché illégal de la marijuana est le problème majeur en Jamaïque. Malgré la légalisation, le gouvernement continue d’interdire la vente de petites quantités de marijuana. Malgré la légalisation de la marijuana, le marché illégal demeure. Le manque de ganja affecte aussi bien les agriculteurs traditionnels que les consommateurs. La pénurie de mauvaises herbes en Jamaïque est le résultat d’un manque de précipitations, de la sécheresse et d’une augmentation de la consommation. Néanmoins, le pays tente de lutter contre la pénurie en dépénalisant de petites quantités d’herbe.